Saint-Vincent de Tyrosse, un soir d'août 74: sous nos yeux, il se fait égorger par un novillo de Don Martin Peñato. Miraculé.
Quelques années plus tard: je lis dans les journaux que, pris par un toro, il est retombé sur la tête. Tenu pour mort pendant 30 secondes, il ressuscite. Madrid, 1980, du côté de la Plaza Santa Ana: il me regarde, respectueux et un brin obséquieux, du bas de son mètre soixante et quelques: "Encantado, señor, encantado". Mon copain m'a présenté comme un journaliste français et le petit torero frétille. On dit qu'il n'a plus toute sa raison.
Depuis, j'ai perdu sa trace.
Où donc "Garbancito", le petit pois chiche, a-t-il roulé?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire