A force de ne plus savoir discerner le bon grain de l'ivraie, certains aficionados, à leur insu et à leurs dépends, aident à précipiter la corrida contemporaine dans les oubliettes où notre société déracinée veut l'embastiller. Les triomphes de Manzanares à Séville, le retour majuscule de Jose Tomas à Badajoz les laissent indifférents, eux qui, il y a encore quelques années, étaient capable d'arpenter la planète torera de Nîmes à Barcelone à l'annonce d'un cartel phare.
Dans leur tauromachie, le Père Noël est mort.
Oserai-je écrire qu'ils sont dans leur "blasitude" les produits de nos sociétés gavées?
Oui c'est vrai il y a dans la bloguitude beaucoup de blasitude!
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