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8 juillet 2013

Pamplona touchée par la Grâce?

Midi, samedi 6 juillet, jour et heure de l'ouverture des fêtes de la San Fermin 2013. 
Un immense drapeau basque tombe du ciel avec l'aide de deux ou trois anges barbus et d'une canne à pêche. Il retardera le fameux chupinazo inaugural de prés de 20 minutes.



Dimanche 7 juillet, premier encierro, 8 heures, deux minutes et quelques secondes. 
Deseadito, n°58 de la ganaderia Alcurrucen, isolé dans le dernier tronçon du callejon, est stoppé par un entassement de corps qui bouche la porte de l'arène. Derrière lui, des centaines de coureurs sont agglutinés en rang serrés. Devant, à moins d'un mètre, sur les barrières encombrées, plusieurs jeunes gens ne peuvent plus se réfugier. 
Chronique d'un carnage annoncé. 
Mais le miracle se produit: Deseadito ne fonce pas. Il regarde immobile les dizaines de proies à sa merci. Quarante secondes plus tard, il prend enfin le chemin de l'arène sans avoir donné un seul coup de corne.



¡Viva San Fermin, gora San Fermin!


2 commentaires:

  1. Se preguntan porqué ahora estando el encierro tan masificado, no hay apenas cornadas graves. Se hacen esta pregunta y no encuentran la respuesta. Pues muy sencillo, no hay apenas cornadas graves porque el toro ha perdido gran parte de su instinto agresivo. Se ha querido hacer un animal noble y dócil para el torero. La consecuencia final es un animal que prefiere pararse o huir antes que atacar. Por eso el toro que ayer se quedó rezagado, no embistió a la muralla humana que tenía enfrente. En esa misma circunstancia, un torito de hace sesenta o setenta años hubiera organizado una auténtica escabechina.

    Domingo Delgado de la Cámara

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  2. Tout à fait d'accord avec DDC.
    Les cabestros ont plus de caste que tous les mansos produits en masse par la casa Lozano.

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